Comment booster sa fertilité ?

Comment savoir si on est fertile et comment booster sa fertilité féminine et masculine ?
Voir tous les traitements pour booster sa fertilité

Ça y est ! Vous sentez que c’est le moment, vous voulez avoir un enfant ! Oui, mais ce n’est pas toujours facile ! Car la rencontre d’un spermatozoïde et d’un ovule, qui devrait être le phénomène le plus naturel et le plus vieux du monde, n’est pas toujours évident !

Nous vivons dans une société convaincue qu’on peut avoir un bébé quand on veut, mais dans la pratique, on découvre bien vite le contraire. L’avez-vous remarqué ? Curieusement, au moment où se sent enfin prêt, ça ne marche pas… Pourquoi ? Comment ? La question mérite d’être posée, car le problème est loin d’être isolé.

La difficulté à avoir un enfant figure parmi les soucis sociaux les plus récurrents du 21ème siècle. Elle touche plus de 80 millions de personnes dans le monde et concerne aussi bien l’homme que la femme. Toujours selon les chiffres, près d’un demi-million de couples consultent chaque année parce qu’ils n’arrivent pas à concevoir un enfant, et 1 couple sur 10 suit un traitement pour régler le problème.

En France, selon l’Enquête nationale périnatale de 2003 et l’Observatoire épidémiologique de la fertilité, près de 24 % des couples français ne parvenaient pas à concevoir un enfant au bout d’un an en 2008.

Fort heureusement, plusieurs solutions sont aujourd’hui proposées pour booster la fertilité. Et les résultats sont plutôt encourageants, car 80 % des couples traités de quelques manières que ce soit arrivent à avoir un enfant au bout de 2 ans ; 60 % y arrivent au bout d’un an !

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Que veut dire fertile ?

Le mot « Fertile » est souvent utilisé pour qualifier ce qui « produit beaucoup », ce qui « rapporte beaucoup ». On dit de la terre qu’elle est fertile lorsqu’elle donne des récoltes en abondance ; et d’une année qu’elle est fertile lorsqu’elle a été fructueuse.

Dans le langage typiquement humain, la fertilité désigne, aussi bien chez l’homme que chez la femme, la capacité à se reproduire, c’est-à-dire à enfanter.

  • La fertilité féminine se définit ainsi comme l’ensemble des caractères et des attributs permettant à la femme de procréer, c’est-à-dire : des organes génitaux sains, complets et apparemment en bonne santé ; ainsi que la présence évidente d’un cycle menstruel normal.
  • La fertilité masculine, quant à elle, se définit comme l’ensemble des caractères et attributs permettant à l’homme de concevoir un enfant, c’est-à-dire : des organes génitaux normaux et en bonne santé ; la survenance en quantité et en qualité suffisante de spermatozoïdes pendant l’éjaculation.

Comment savoir si on est fertile ?

On parle rarement de la fertilité de la femme ou de l’homme de manière isolée. Car à priori, la question d’avoir ou non un enfant ne se pose que lorsque les deux acteurs sont en couple. Un problème d’infertilité n’est donc mis en évidence que lorsque « le couple n’arrive pas à concevoir un enfant malgré leur désir et des rapports sexuels réguliers ». Si après plusieurs mois et plusieurs essais, l’opération s’est révélée infructueuse, le couple est en droit de se poser des questions et d’avoir des doutes sur un éventuel problème de fertilité.

test de grossesse

Quand faire un test de fertilité ?

Le test est indiqué dès lors que les professionnels émettent des doutes quant à la fertilité du couple. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, une éventuelle infertilité est suspectée lorsque l’homme et la femme n’ont pas réussi à concevoir un enfant au bout d’un an, et ce, malgré des rapports sexuels réguliers et non protégés.

Selon le Docteur Laurence Lévy-Dutel, gynécologique endocrinologue aux Hôpitaux de Paris, la consultation est nécessaire chez les couples visiblement en bonne santé, n’ayant aucun antécédent médical pouvant expliquer la difficulté à concevoir un enfant, et « ayant des rapports sexuels réguliers, c’est-à-dire 2 à 3 fois par semaine ».

Chez la femme, le test de fertilité doit être fait :

  • Après un an d’essai infructueux chez les moins de 35 ans
  • Après six mois d’essai infructueux chez les plus de 35 ans

Chez l’homme, le test de fertilité doit être fait au même moment que la femme. Et cela, en raison du fait qu’il est quasiment impossible de déterminer d’où vient le problème si les deux personnes concernées ne sont pas toutes les deux examinées. À noter que dans 20 % des cas, le problème vient de l’homme ; dans 40 %, le problème est mixte.

Comment et où faire un test de fertilité ?

Aussi bien pour l’homme que pour la femme, le test de fertilité commence toujours par une consultation, qui est faite dans le but de déterminer et de mieux comprendre les difficultés rencontrées par le couple. Cet interrogatoire est, par la suite, suivi d’un bilan médical.

Le test de fertilité chez la femme

Le test de fertilité de la femme est généralement effectué par un gynécologue ou un obstétricien et vise, dans un premier temps, à déterminer si des anomalies physiques ou hormonales peuvent être à l’origine des problèmes de conception.

L’interrogatoire

Il commence toujours par des interrogations sur :

  • L’âge,
  • La vie sexuelle,
  • La vie quotidienne,
  • Les antécédents médicaux,
  • Les antécédents infectieux (VIH, hépatite, rubéole, toxoplasmose, IST…)
  • Les antécédents chirurgicaux (ablation d’un kyste ovarien, ablation d’une trompe en raison d’une salpingite, appendicectomie, etc.)
  • Les antécédents obstétricaux (nombre de grossesse, nombre d’accouchement, nombre de fausses couches, nombre de grossesse extra-utérine, complications pendant une grossesse, complication pendant un accouchement, etc.)

Cette investigation est menée afin d’être sûr que les difficultés ne viennent pas d’une ancienne pathologie, ou d’une maladie encore présente.

L’examen clinique

Dans la mesure où l’infertilité peut être une conséquence d’un problème physique, pour mieux comprendre d’où vient le problème, les spécialistes procèdent souvent à des examens cliniques basés sur 4 informations principales :

  • Le poids

Parce qu’il a une influence directe sur la qualité de l’ovulation. Une femme ayant une IMC trop faible peut ne pas avoir de cycle, de la même manière qu’une femme souffrant de surpoids.

  • La pilosité

Une hyperpilosité voire de l’hirsutisme peut induire des problèmes hormonaux, pouvant également expliquer des difficultés à la conception.

  • L’état des seins

Parce que la présence d’une galactorrhée, souvent due à une hypersécrétion de prolactine, peut également provoquer des troubles de l’ovulation, voire l’absence de celle-ci chez la femme. Chez l’homme, elle peut provoquer une baisse de la libido et des troubles de l’érection.

  • L’état de la thyroïde

L’état de la thyroïde, car si cette dernière est anormalement grosse, cela pourrait signifier des troubles qui peuvent être à l’origine de règles irrégulières, voire d’anovulation. Selon les statistiques, près de 2.5 % des femmes en âge de procréer rencontrent des problèmes de fertilité à cause d’une hyperthyroïdie ou d’une hypothyroïdie. Selon le Dr Amanda Jeffreys du Southmead Hospital à Bristol, cela s’explique par le fait que « la fonction de la glande thyroïde est sous le contrôle de l’axe hypothalamus-hypophyse, et que les changements dans la fonction de cette glande peuvent avoir un impact important sur la fonction reproductive avant, pendant et après la conception ».

L’examen gynécologique

L’examen gynécologique se fait de plusieurs manières :

  • L’observation de l’appareil génital féminin dans le but d’y détecter d’éventuelles anomalies ou malformations au niveau de la vulve, de l’utérus, des trompes, etc. Il peut s’agir d’une simple observation, mais les spécialistes peuvent également préconiser des examens supplémentaires comme la palpation, l’échographie pelvienne, la radiographie des trompes, l’hystéroscopie, la cœlioscopie, la biopsie de la muqueuse utérine.
  • La recherche d’infections pelviennes possibles, comme la salpingite ou une IST, grâce à un FCV (frottis cervicovaginaux).
  • Le bilan hormonal, fait à partir d’un prélèvement sanguin ou urinaire, afin de déterminer si le problème ne serait pas dû à un trouble des hormones.
  • L’examen de la glaire cervical, qui doit généralement être fait dans les 48 heures suivant un rapport sexuel, pour savoir si, éventuellement, celle-ci ne bloquerait pas les spermatozoïdes.

Le test de fertilité chez l’homme

Le test de fertilité de l’homme se fait en 4 étapes :

  • L’interrogatoire
  • La palpation
  • Le spermogramme
  • Le bilan hormonal

L’interrogatoire

L’interrogatoire va s’attacher à déterminer les facteurs familiaux, sociaux et médicaux pouvant avoir des impacts sur la fertilité de l’homme.

Pendant cet interrogatoire, le médecin va essayer d’enquêter sur :

  • Les antécédents andrologiques, qui reposent notamment sur l’âge du patient, sur le déroulement de sa puberté, sur les évènements qui ont marqué le développement de son appareil génital (cryptorchidie, torsions testiculaires…), mais aussi sa capacité de conception passée, s’il a déjà eu des enfants auparavant.
  • La qualité de vie du patient, dans un premier temps, dans la mesure où certaines habitudes de consommation, comme le surpoids, le tabagisme et l’alcoolisme, peuvent altérer la production de spermatozoïdes, ou réduire leur mobilité.
  • La vie sexuelle du patient, d’un côté pour déterminer la fréquence des rapports sexuels et d’un autre, pour identifier d’éventuels troubles comme l’impuissance, l’anéjaculation, la dyspareunie, l’éjaculation précoce…
  • Les antécédents médicaux du patient, étant donné certaines pathologies comme le diabète, les cancers situés dans la zone urogénitale, la tuberculose génitale, certains troubles respiratoires et certains problèmes psychiatriques peuvent également impacter sur la fertilité.
  • Les antécédents chirurgicaux, si le patient a déjà subi des opérations qui ont pu endommager ou altérer le bon fonctionnement de son appareil génital. C’est le cas par exemple de l’intervention inguinoscrotale, réalisée dans le cadre d’une hernie inguinale ou d’une cryptorchidie unie ou bilatérale.

La palpation

La palpation de l’appareil génital est un examen clinique obligatoire, car il permet à l’examinateur de rechercher d’éventuelles anomalies :

  • Des nodules dans les testicules
  • Des dilatations dans les épididymes ou dans le cordon

Un toucher rectal peut également être envisagé pour déceler un éventuel cancer de la prostate ou pour rechercher si quelque chose ne bloque pas les voies uro-génitales.

Le spermogramme

Le spermogramme est, comme son nom l’indique, un examen qui consiste à analysersur deux niveaux :

  • La quantité, c’est-à-dire le volume et la concentration du sperme ;
  • La qualité, c’est-à-dire la morphologie, la mobilité et le dynamisme des spermatozoïdes.

Examen basique effectué dans le cadre d’un problème de fertilité chez l’homme, il est réalisé dans un laboratoire agréé. Pour obtenir des résultats probants, cet examen médicament doit être fait sur un patient qui n’a pas eu de rapports sexuels pendant au moins trois jours, et dont le sperme a été recueilli suite à une masturbation dans les locaux du laboratoire.

Le bilan hormonal

Le bilan hormonal n’est pas obligatoire, mais il est souvent nécessaire, car permet de déceler d’éventuels troubles hormonaux associés à des dysfonctions sexuelles comme l’oligospermie, l’azoospermie, etc.

Le bilan hormonal consiste également à vérifier le taux de FSH (Follicule Stimulating Hormone) et/ou de LH (Hormone Lutéinisante).

Quel médicament pour la fertilité ?

Si l’on se réfère aux chiffres publiés à ce jour, l’infertilité est en passe de devenir un problème mondial ! Dans plusieurs pays du monde, on note en effet une recrudescence constante du nombre de couples consultant parce qu’au bout d’un an d’essai, ils n’arrivent toujours pas à concevoir un enfant. Selon l’INSERM, c’est le cas d’un couple sur dix en France.

Et si les problèmes d’infertilité touchaient beaucoup plus les femmes il y a encore 10 ans, aujourd’hui, les hommes également semblent rencontrer des problèmes. « Les problèmes de l’appareil reproducteur masculin sont aujourd’hui potentiellement aussi graves que le réchauffement climatique », a indiqué le professeur danois Niels Skakkebaek en nombre 2008 dans Le Monde. Et ce, à cause de :

  • Malformation génitale dans 10 % des cas
  • Diminution de la production de spermatozoïdes dans 50 % des cas

La bonne nouvelle, c’est qu’aujourd’hui, il est tout à fait possible de traiter les problèmes d’infertilité, aussi bien chez l’homme que chez la femme.

Parmis les meilleurs traitements disponibles :

Traitement pour améliorer la qualité des ovules

Pour traiter la fertilité, il existe aujourd’hui des traitements qui visent à améliorer la qualité des ovules, à l’exemple de Fertility Blend pour femme.

Élaboré par le laboratoire Daily Wellness Company, Fertility Blend pour femme est un médicament 100 % naturel, fabriqué avec des plantes riches en minéraux et en vitamines. Comme son nom l’indique, ce traitement a été conçu pour optimiser la fertilité chez la femme, et ce, de deux manières :

  • Rendre stable le cycle menstruel
  • Régler les troubles hormonaux

L’efficacité de Fertility Blend contre les problèmes d’infertilité est médicament prouvée. Le médicament a effectivement fait l’objet de tests au sein de la Faculté de Médecine de l’Université de Stanford.

Traitement pour améliorer la qualité du sperme

Aujourd’hui, il est également possible d’améliorer la qualité du sperme, et subséquemment, de booster la fertilité de l’homme, et ce, grâce à des traitements efficaces comme la version masculine de Fertility Blend.

Fabriqué par le laboratoire Daily Wellness Company, Fertility Blend pour homme est un médicament 100 % naturel, qui se compose de plantes dont les vertus sur l’amélioration du sperme, aussi bien en termes de qualité que de quantité, sont reconnues.

Fertility Blend for Men a également été testé et reconnu efficace par la Faculté de Médecine de l’Université de Stanford.

En traitement efficace pour améliorer la fertilité, il existe également : le complément alimentaire Proxeed Plus.

Comment augmenter sa fertilité naturellement ?

Vous avez des difficultés à avoir un enfant ? La prise de médicaments est une solution, mais elle n’est recommandée qu’en dernier recours. Il est tout à fait possible en effet d’augmenter sa fertilité en optant pour des solutions naturelles, cela est d’ailleurs vivement conseillé.

Les solutions pour booster vos chances de concevoir un enfant

Les 2 principales clés pour booster vos chances de concevoir un enfant sont :

  • Adopter un mode de vie sain
  • Fréquence des rapports sexuels

Adopter un mode de vie sain 

La mode de vie d’une personne, en particulier d’une femme, peut affecter sa capacité à concevoir et à porter un enfant. Voilà pourquoi, si vous voulez avoir un enfant, vous devez commencer par modifier vos habitudes de vie.

  • L’alimentation: une éventuelle insuffisance pondérale peut rendre difficile la conception d’un enfant, au même titre que le surpoids. Il est vital que vous mangiez sain et équilibré, et que vous évitiez au maximum la caféine.
  • Le tabagisme: de nombreuses études ont montré que la cigarette pouvait diminuer de moitié la production d’œstrogènes, et parallèlement, la production de spermatozoïde. Il est donc recommandé d’arrêter si vous essayez de concevoir un bébé.
  • L’alcoolisme : tout comme le tabac, l’alcool peut également diminuer la quantité de spermatozoïdes, mais également de progestérone chez les sujets qui en consomment. Voilà pourquoi, la consommation d’alcool est également déconseillée chez les couples essayant d’avoir un enfant.
  • La toxicomanie : bien que les études ayant prouvé les impacts des substances illicites sur la fertilité ne soient pas nombreuses, il est cependant établi que les drogues augmentaient les risques de fausse-couche et de malformations congénitales. Il n’est donc pas recommandé d’en consommer pendant les périodes de conception.

La fréquence des rapports sexuels 

Avec un rapport sexuel par semaine, vos chances de concevoir un enfant ne dépasseront pas 10 %. Pour tomber enceinte en conséquence, vous devez avoir des rapports sexuels réguliers. La fréquence de ces derniers est toutefois sujette à controverse. Si certains spécialistes affirment qu’il est préférable de le faire tous les 3 jours, des études récentes ont montré qu’une éjaculation quotidienne permettait d’améliorer la qualité du sperme.

Alors, quelle est la bonne fréquence ? Selon le gynécologue et sexologue Sylvain Mimoun, « Le bon rythme pour augmenter statistiquement ses chances de faire un bébé est d’avoir des rapports tous les deux jours ». « Avoir des relations sexuelles 2 à 3 fois par semaine optimise la possibilité d’être enceinte », confirme le docteur Lévy-Dutel.

L’homéopathie 

De nombreux traitements homéopathiques ont prouvé leur efficacité contre l’infertilité au bout de trois à six mois de prise. La plupart d’entre eux sont utilisés lorsque le problème est fonctionnel, car ils permettent :

  • La régularisation des cycles menstruels
  • La régularisation des hormones
  • La favorisation de l’ovulation après une longue période de contraception
  • L’amélioration de la qualité de la glaire cervicale
  • L’optimisation de la nidation, par la préparation de l’utérus

La naturopathie 

Il est aussi possible de booster la fertilité avec la naturopathie, c’est-à-dire en utilisant des méthodes et des soins totalement naturels et biologiques pour favoriser le système immunitaire de l’organisme, et parallèlement, pour résoudre tout problème fonctionnel qui y est présent.

Pour favoriser la conception d’un enfant, la naturopathie préconise :

  • L’adoption d’alimentation saine et biologique, c’est-à-dire sans pesticides, sans toxines et sans substances chimiques.
  • La consommation régulière de légumes et de fruits variés, pour éviter toute carence en vitamines, en minéraux et en oligo-éléments comme la Vitamine E, le Zinc (particulièrement efficace sur la fertilité masculine avec l’aide d’un complément alimentaire Zinc) et le Manganèse.
  • La pratique d’exercices physiques légers, mais réguliers comme le yoga, la natation, la marche…

L’ostéopathie 

Le saviez-vous ? L’ostéopathie peut aussi traiter les problèmes de fertilité. Contrairement à ce que l’on semble croire en effet, cette discipline ne sert pas uniquement à traiter et à guérir les maux de dos. Les massages faits en ostéopathies visent, en réalité à « rechercher des blocages mécaniques et les manques de mobilité, et de restituer cette mobilité pour que l’organisme fonctionne au mieux » explique l’ostéopathe Anne Benoît.

Quel rapport avec l’infertilité ? Pour pouvoir concevoir un enfant, certaines parties du corps de la femme doivent être dans de bonnes conditions : le cerveau, l’utérus, la colonne vertébrale et le bassin. S’il y a un problème dans l’une de ses parties, comme le déplacement du bassin, une mauvaise mobilité de l’utérus ou un dysfonctionnement cervical, tout cela peut avoir des conséquences sur la fertilité d’une personne.

Ce qu’il faut éviter de faire au quotidien

Vous voulez avoir un bébé ? Pour booster vos chances de réussite, vous devez également éviter :

  • De stresser, car le stress peut également impacter sur vos hormones et parallèlement sur la régularité de votre cycle. Évitez donc de trop y penser, et essayer dans la mesure du possible de laisser les choses se faire naturellement, et spontanément.
  • De manger trop gras, trop sucré et trop salé, donc à priori tout ce qui touche de près ou de loin à la malbouffe. Car des kilos en trop peuvent aussi modifier la production d’hormones et dans certains cas, empêcher l’ovulation. Dans de nombreux cas, un simple régime suffit à améliorer la fertilité.
  • De fumer, car de nombreuses études ont permis de constater que les fumeurs étaient 40 % moins fertiles que les non-fumeurs.
  • De boire du café, car selon les statistiques, les femmes qui consomment une tasse de café par jour ont 50 % de moins de tomber enceinte, même avec un cycle régulier.
  • De ne pas dormir, car selon les études, le manque de sommeil inhibait la production de la leptine, une hormone qui joue un rôle primordial dans la fertilité.

FAQ sur la fertilité de la femme et de l’homme

Voici quelques réponses aux questions que l’on se pose le plus sur la fertilité de l’homme et de la femme.

Quelle différence entre fertilité et ovulation ?

La fertilité se définit comme la capacité pour une personne à concevoir un enfant suivant un rapport sexuel. L’ovulation quant à elle se définit comme le moment où l’organisme féminin expulse l’ovule, il s’agit donc du seul moment du cycle où elle est « fertile ».

Dans le cycle d’une femme, on peut donc distinguer une période d’ovulation, qui se situe généralement au 14ème jour pour un cycle régulier de 28 jours, ou le 14ème à partir de la date de début des prochaines règles pour un cycle régulier de plus de 18 jours. On la reconnaît facilement par une augmentation brusque de la température corporelle, par le changement de l’aspect de la glaire cervicale qui devient transparente et élastique et par la présence de douleurs légères au niveau du bas ventre.

On peut également distinguer une période fertile, c’est-à-dire une phase pendant laquelle la femme est fertile et peut donc être fécondée. Celle-ci dure généralement 5 jours, et est définie à 2 ou 3 jours avant le 14ème jour (ovulation) et à 2 à 3 jours après. Ces jours sont définis en fonction de la durée de vie éventuelle de l’ovule dans la trompe, mais également du spermatozoïde si le rapport sexuel a eu lieu bien avant l’ovulation.

Moment le plus fertile pour une femme ?

Le moment le plus fertile pour une femme est bien entendu le jour de l’ovulation. Il n’est pas toujours possible de déterminer avec exactitude quand le phénomène se produit, mais aujourd’hui, vous pouvez tout au moins être certain du jour si vous utilisez un « test d’ovulation ». Il s’agit d’une petite bandelette qui va vous permettre de détecter la présence de l’hormone ovulatoire LH dans vos urines. Vous pourrez vous procurer ce test en pharmacie.

À noter cependant qu’un spermatozoïde peut survivre dans la zone utérine pendant plus de 72 heures. Autrement dit, si la femme a un rapport sexuel trois jours avant son ovulation, il est tout à fait possible qu’elle tombe enceinte. De même, puisque l’ovule peut survivre jusqu’à 48h dans les trompes de Fallope, si la femme a un rapport sexuel deux jours après son ovulation, il peut y avoir fécondation.

Autrement dit, la femme est la plus fertile pendant ces 6 jours, avant ou après l’ovulation, que l’on appellera la « période féconde ».

Jusqu’à quel âge un homme est fertile ?

Contrairement à la femme, l’homme n’est pas sujet à la ménopause. En d’autres termes, il produit du sperme et parallèlement du spermatozoïde tout le long de sa vie. Cela ne signifie pas pour autant qu’il puisse avoir un enfant même à l’âge de 90 ans !

Contrairement aux idées reçues en effet, et malgré la présence de sperme, plus l’homme avancera en âge, plus aura moins des chances de procréer. Des études ont effectivement montré que la qualité du sperme se détériorait avec le temps et qu’ainsi, à partir de ses 24 ans, les capacités de conception de l’homme diminuaient d’environ 2 % tous les ans ! Les mêmes études ont démontré qu’à partir de 25 ans, les chances qu’un homme puisse avoir un enfant en un an diminuent de 50 %.